J'ai le goût de parler. Tout ce passe bien -- je ne contrôle rien. Je fais mon chemin, et je laisse la vie aller avec les risques qui vont avec. Parfois je dois résister les impulsions et prendre du recul. Souvent je me fâche en pointe et ça drague dans le fond de ma tête, longtemps. Malgré ça je décroche.
Ça s'améliore, l'appartement. Ça s'améliore aussi les questions existentielles, car devant une crise elles n'ont plus leur places. Je suis toujours en paix avec moi-même et j'aspire très fort à le rester.
J'ai parlé ce week-end et je continuerai de le faire. Le reste du temps je ne m'ennuie pas, comme si tout tombait à sa place.
Amourx.
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